
Emmanuel Macron et Éric Dupond-Moretti à la gare de Pithiviers, lieu de mémoire de la Shoah, le 17 juillet 2022. CHRISTOPHE PETIT TESSON/AFP
CONTREPOINT – Dans un gouvernement où si peu parviennent à exister, le président de la République a enfin trouvé une figure qui incarne véritablement son secteur.
Les dix jours les plus longs. Para Éric Dupond-Moretti, la suerte está echada, pero no será hasta el 29 de noviembre que los miembros del Tribunal de Justicia de la República dirán si siguen o no el auto de procesamiento que pide una pena de prisión condicional de un año contra el Ministère de la Justice. Le secret sera-t-il gardé d’ici là ? En tout cas, l’Elysée n’a pas pour vocation de prendre l’initiative. Supposons donc l’hypothèse d’une conviction. Le 8 octobre, sur BFMTV, Élisabeth Borne rappelait le « règle claire » selon lequel une condamnation exigeait la démission.
Ce principe de preuve avait gêné, et pas seulement l’intéressé, qui semblait prévoir le départ du garde des Sceaux alors que son procès n’avait pas encore commencé. Même s’il est difficile d’imaginer comment une condamnation pourrait conduire à une permanence au gouvernement, le président de la République a déplacé le curseur à trois reprises. La première fois en gardant Éric Dupond-Moretti lors de la réorganisation…
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