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Nouvelles sportives

Nous classons les saisons du Petit Chelem de Novak Djokovic


4. 2021, la plus frustrante

  • Nombre de tournois gagnés/joués : 5 sur 12 (41,6%)
  • Record de victoires-défaites : 55-7, soit 88,7 % de réussite
  • Plus longue séquence d’invincibilité : 22 matchs
  • Résultats contre le Top 10 : 14-4, soit 77,8% de réussite

Moment le plus mémorable : La finale perdue de l’US Open face à Daniil Medvedev (6-4, 6-4, 6-4). Il est paradoxal de se souvenir d’une défaite dans une saison aussi extraordinaire, mais c’est celle qui a changé la face d’une année dont l’impact aurait pu être sans précédent dans l’ère moderne du football : Novak Djokovic a ainsi trébuché dans la dernière partie d’un exploit. que personne n’a réalisé depuis Rod Laver en 1969 : le calendrier du Grand Chelem. Les larmes légitimes du Serbe, brisées sous l’immense pression de Flushing Meadows, lui ont également conquis de nombreux cœurs.

L’état de la compétition : En transition, pour ainsi dire. Cette saison 2021 a vu le déclin de Roger Federer à Wimbledon, malgré une dernière tentative de retour. Et si son autre rival historique, Rafael Nadal, offre une magnifique résistance en demi-finale de Roland-Garros, l’Espagnol est également privé de deuxième partie de saison à cause de son pied gauche. Cependant, Daniil Medvedev et Alexander Zverev, qui ont arrêté le Serbe en demi-finale des Jeux olympiques et du Masters, ont pris les commandes et se sont révélés être des adversaires plus que coriaces.

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The boss tour : le top 5 des meilleurs points de Djokovic en 2021 en vidéo

3. 2023, le plus impressionnant

  • Nombre de tournois gagnés/joués : 7 sur 12 (58,3%)
  • Record de victoires-défaites : 55-6, soit 90,2 % de réussite
  • Plus longue séquence sans défaite : 19 matchs
  • Résultats contre le Top 10 : 17-4, soit 81% de réussite

Moment le plus mémorable : La finale anthologique contre Carlos Alcaraz à Cincinnati s’est imposée au terme du tie-break décisif (5-7, 7-6, 7-6) après 3h49 d’une folle bataille. Bien sûr, il ne s’agit pas d’une finale de Grand Chelem, mais c’est au moins aussi important pour les deux hommes. Voir le malaise du Murcien, qui avait obtenu une balle de match dans le 2ème set, et la joie exultante du « Djoker », qui a même déchiré son maillot, ne laisse aucun doute. Cette « revanche » de Wimbledon a complètement relancé le Serbe, bien décidé à ne pas baisser les bras à 36 ans. La continuation ? L’US Open, Bercy et un 7e Masters record comme cerise sur le gâteau pour réaffirmer son autorité incontestable.

L’état de la compétition : Un peu inquiétant. Certes, l’apparition du phénomène Alcaraz, capable de remonter séquentiellement jusqu’au niveau stratosphérique de Djokovic, n’est pas sans rappeler les matchs du « Big 3 ». A noter également la nouvelle régularité de Daniil Medvedev et les progrès prometteurs de Jannik Sinner. Mais le niveau général du Top 10 semble avoir baissé, à l’image d’un Rolex Masters à Paris remporté par le Serbe avec 60 ou 70% de ses possibilités. Sa marge en dit autant sur son niveau prodigieux que sur les lacunes de ses rivaux ou le nécessaire apprentissage de la gestion d’une saison chez les jeunes.

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Intensité folle : revivez les meilleurs moments de la finale Djokovic – Alcaraz

2. 2015, la plus hégémonique

  • Nombre de tournois gagnés/joués : 11 sur 16 (68,8%)
  • Record de victoires-défaites : 82-6, soit 93,2 % de réussite
  • Plus longue séquence d’invincibilité : 28 matchs
  • Résultats face au Top 10 : 31-5, soit 86,1% de réussite

Moment le plus mémorable : Son couronnement à New York. Sur un immense court Arthur-Ashe où plus de 23 000 personnes font souvent pression à outrance sur son rival Roger Federer, Novak Djokovic résiste à tout. Et surtout les attaques d’un Suisse d’un niveau impressionnant dans cette quinzaine américaine. Le Serbe sauve 19 des 23 balles de break de son rival pour refroidir tout un stade et sceller la victoire en quatre sets (6-4, 5-7, 6-4, 6-4). Peut-être n’a-t-il jamais donné l’impression d’être aussi imperméable à son environnement et aussi clinique dans son tennis. Leur constance en termes de performances et d’excellence est tout simplement incroyable.

L’état de la compétition : Objectivement, cela est remarqué et incarné principalement par deux Suisses, car Rafael Nadal traverse alors des difficultés physiques et une crise de confiance. Tout d’abord, un Federer plus que résilient s’est ainsi infligé la moitié de ses défaites de la saison (trois sur six). Mais le Serbe trouve un supplément d’âme dans les matchs les plus importants où il frustre le Bâlois, toujours en finale d’Indian Wells, de Rome, de Wimbledon, de l’US Open et… dans le tournoi Masters où il se venge de la phase de groupes. . En état de grâce, Stan Wawrinka a également brisé son rêve de remporter Roland-Garros (réalisé l’année suivante).

1. 2011, l’indépassable

  • Nombre de tournois gagnés/joués : 10 sur 15 (66,7%)
  • Record de victoires-défaites : 70-6, soit 92,1 % de réussite
  • Plus longue séquence d’invincibilité : 41 matchs
  • Résultats contre le Top 10 : 21-4, soit 84% de réussite

Moment le plus mémorable : Ce n’est pas un instant, c’est plus de cinq mois de domination incontestée. Entre le premier tour de l’Open d’Australie et les demi-finales de Roland-Garros, Novak Djokovic n’a tout simplement pas perdu un seul match. C’est la naissance d’un monstre alors que le circuit était jusqu’alors gouverné par l’hydre à deux têtes Federer-Nadal. Indestructible, le Serbe domine sur toutes les surfaces, même sur terre battue, où règne habituellement le Majorquin. Ce dernier reste également professeur à Paris grâce à… Federer qui, au prix d’une performance d’anthologie, arrête le « Djoker » dans sa folle carrière.

L’état de la compétition : Féroce. Et c’est pourquoi cette saison 2011 continue d’être la référence pour Novak Djokovic. Le Serbe détrône non pas une mais deux légendes encore au top de sa forme, ou pas loin. Rafael Nadal est sorti d’un Petit Chelem en 2010, tandis que Roger Federer avait encore atteint quatre finales du Grand Chelem en 2009. Certes, « Nole » a faibli dans la dernière ligne droite après l’US Open, laissant de côté le Masters, mais c’est la conséquence. de l’intensité exceptionnelle nécessaire pour imposer sa loi à ceux qui sont désormais ses grands rivaux. Ainsi, l’enchaînement entre les deux balles de match sauvées en plein US Open contre le Suisse et le « tennis cosmique » joué en finale contre l’Espagnol résume parfaitement l’ampleur de l’exploit.


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Eleon Lass

Eleanor - 28 years I have 5 years experience in journalism, and I care about news, celebrity news, technical news, as well as fashion, and was published in many international electronic magazines, and I live in Paris - France, and you can write to me: eleanor@newstoday.fr
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