« Nefertiti lava whiter », nouveau roman d’Ahmed Tazi

La maison d’édition La Croisée des Chemins a récemment publié le roman « Nefertiti lave plus blanc » d’Ahmed Tazi. Dans ce livre, Omar, qui n’était pas épanoui dans son travail dans l’administration, investit dans une laverie automatique pompeusement baptisée Néfertiti. Son projet se situe non loin du Manoir, un atelier où il s’était lié d’amitié avec des peintres confirmés, non loin également du bar de Casablanca où il rencontrait les habitués et la Koutoubia fréquentée par les musiciens et chanteurs de la radio d’à côté, devenus de vrais amis. La laverie lui a apporté le bonheur en lui permettant de rencontrer la femme de sa vie, la mère de Malika. Une ombre au tableau. La jeune fille tomba gravement malade et dut se faire soigner en France. Néfertiti avait besoin d’être cloué au sol. La solidarité des gens du quartier avait agi spontanément. La générosité des peintres du Manoir, l’intervention de M. Bill l’Américain et celle de Hamid, le père biologique de Malika ainsi que la sollicitude et le soutien surprenant d’autres personnages… Qu’importait Néfertiti ; Malika devait être sauvée. « Nefertiti Lava Whiter » est le quinzième titre d’Ahmed Tazi. L’écrivain est né en 1950 à Fès. Économiste, ancien membre de l’Inspection générale des finances, il vit actuellement à Rabat.
Grb2