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GM du Lightning : Julien BriseBois dans une classe à part


TAMPA | Conn Smythe, Jack Adams, Frank Selke. Des directeurs généraux qui ont tellement marqué leur époque qu’ils ont aujourd’hui un trophée à leur nom.

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Julien BriseBois a encore des croûtes à manger avant de pouvoir prétendre à la postérité. Néanmoins, en menant son équipe en finale pour une troisième saison consécutive, l’architecte du Lightning de Tampa Bay s’est joint à un club sélect de seulement neuf membres dans toute l’histoire de la LNH.

Outre le Québécois et le trio cité plus haut, ce petit groupe comprend les noms des illustres Punch Imlach et Sam Pollock ainsi que ceux de Keith Allen, Al Arbour et Glen Sather. En tant que club trié sur le volet, on a déjà vu pire.

CONN SMYTH

1938 à 1940 et 1947 à 1949

À la tête de la première grande dynastie de l’histoire de la LNH, Conn Smythe a servi pendant 27 ans. Sous sa direction, les Leafs ont remporté sept coupes Stanley et ont atteint la finale à six autres reprises. C’est d’ailleurs à lui que les Leafs doivent leur nom. Lorsqu’il est devenu propriétaire et directeur général, l’équipe s’appelait les St. Patricks. Il est aussi l’homme à qui les Torontois doivent la construction du Maple Leafs Garden.

Jack Adams

1941 à 1943 et 1954 à 1956

Il a travaillé pendant 35 ans dans l’organisation des Red Wings. L’un des premiers à occuper les postes d’entraîneur-chef et de directeur général, il a mené les Wings à trois couronnes avant de choisir, en 1947, de se concentrer sur le rôle de directeur général. Surnommé « Traders Jack » en raison de ses nombreuses transactions, il a été l’instigateur du système d’affiliation qui a permis à Detroit d’atteindre la finale sept fois en neuf ans de 1948 à 1956.

FRANK SELKE

1951 à 1960

Il a été l’instigateur de l’impressionnant système de filiales qui permettait aux Canadiens d’avoir le contrôle et le premier droit de regard sur pratiquement tous les joueurs de hockey du Québec. Cette façon de faire lui a permis d’aligner la plus grande dynastie de l’histoire du hockey. De 1951 à 1960, les Canadiens ont participé à toutes les finales de la Coupe Stanley, remportant le trophée en 1953 et de 1956 à 1960.

COUP DE POINÇON

1962 à 1964

Reconnu pour son tempérament colérique et ses méthodes grossières, il a été à la fois directeur général et entraîneur-chef les quatre dernières fois que les Maple Leafs ont remporté la Coupe Stanley : de 1962 à 1964 et en 1967. Quelques transactions douteuses de sa part ont probablement privé les Torontois de même plus de succès.

SAM POLLOCK

1965 à 1969 et 1976 à 1978

Si Selke était à l’origine du système subsidiaire, Pollock est le cerveau derrière certaines des transactions les plus ingénieuses de l’histoire. C’est ainsi qu’il a posé la basse de l’équipe qui survolera la LNH de 1976 à 1979. Cependant, c’est Irving Grundman qui était aux commandes en 1979.

KEITH ALLEN

1974 à 1976

Premier entraîneur-chef et deuxième directeur général des Flyers de Philadelphie, Allen est celui qui a mis sur pied les « Broad Street Bullies », la formation la plus terrifiante de l’histoire du circuit, celle qui a régné jusqu’à ce que les Canadiens mettent fin au carnage en 1976. final.

BILLET TORREY

1980 à 1984

Premier employé de l’histoire des Islanders, l’homme au nœud papillon a choisi de penser à long terme en adoptant dès le départ une stratégie visant à bâtir son équipe par le repêchage. Les Denis Potvin, Clark Gillies, Bryan Trottier et Mike Bossy étaient au cœur de ce club, qui a remporté 19 séries consécutives de 1980 à 1983. Dernière équipe à remporter quatre coupes Stanley de suite, New York aurait égalé la marque avec cinq titres consécutifs pour les Canadiens, n’eut été de l’intervention des jeunes Oilers d’Edmonton.

GLEN SATER

1983 à 1985

C’est lui qui a conseillé à Peter Pocklington de tout faire pour acquérir Wayne Gretzky à l’époque de l’Association mondiale de hockey. Puis, il a jeté les bases de la puissante équipe en sélectionnant Paul Coffey, Jari Kurri, Andy Moog, Grant Fuhr et Steve Smith. De plus, nous ne le saurons jamais avec certitude, mais sans le but que Smith a marqué dans son filet lors du septième match de la finale de la division Smythe de 1986 en éliminant les Oilers, ils auraient peut-être atteint la finale cinq fois de suite et six fois. en neuf ans.



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