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Divertissement

Galerie Claude Senouf à Essaouira : la nostalgie des photographies

La galerie d’art Claude Senouf à Essaouira accueille, jusqu’au 22 mars, une exposition de photographies consacrée au quartier florentin de Tel-Aviv où le photographe Claude Senouf montre en images la convivialité de ce lieu qui génère de nombreuses bonnes relations entre amitié et fraternité.

Avec près d’une centaine de photographies, Claude Sénouf nous fait voyager au cœur du quartier »Florentin», dévoilant ses ambiances, son architecture, son quotidien, ses saveurs, ses secrets… Sachant qu’avec un urbanisme de plus en plus poussé, rares sont les quartiers qui ont su garder leur saveur d’antan. Comme, par exemple, les images de Casablanca des années 1960 qui engendrent certainement toutes les formes de nostalgie. C’est dans cette vision que l’artiste Claude Senouf présente aujourd’hui cette exposition consacrée au quartier florentin de Tel-Aviv.

Et ce pour la découverte du quartier et de sa vie quotidienne, où l’artiste a pu apprécier certains paramètres socio-culturels et identitaires. « A l’image du Quartier Latin, habillé de charme, ponctué de petites places commerçantes et souriantes où l’on croise des lieux qui privilégient l’artisanat, les librairies, les petites tavernes et où les gens sont très souvent ouverts et affables, le quartier florentin présente aujourd’hui une ressemblance frappante. Vous peut y rencontrer des personnes de toutes identités, heureuses d’échanger soit sur leur différence, soit sur leur proximité. Mais neuf fois sur dix dans un cadre fraternel », explique à ce propos Claude Senouf. Pour lui, Florentine serait le quartier latin de la ville. « En tout cas, c’est comme ça qu’il était il y a vingt ans. Le charme se mêle à l’art de vivre, les artisans animent les lieux jusqu’aux ateliers Zellige, les pâtisseries règnent en maître le vendredi quand une foule bigarrée se presse au comptoir pour adoucir leur Shabbat. Les portes des galeries restaient ouvertes parfois même sept jours sur sept. Sans faire de travail ethnographique, j’ai voulu témoigner de tout cela avec amour. Ce qui n’est pas seulement un témoignage, mais un sentiment fort », ajoute-t-il.

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