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Francos de Montréal : Diane Tell, élégance rare


Sur la scène Loto-Québec des Francos de Montréal, Diane Tell a pu fêter pleinement son 45e anniversaire avec le public montréalais, malheureusement peu nombreux vendredi soir en raison d’une météo capricieuse.

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Mais les absents ont toujours tort, c’est bien connu.

Une ambiance très jazzy accompagne l’arrivée de Diane Tell sur scène, lorsqu’elle entonne aussitôt « Les cinémas-bars ». Elle nous invite alors à une véritable balade dans son répertoire d’hier et d’aujourd’hui.

Plusieurs de ses anciens tubes ont réchauffé le public pour commencer la soirée, comme « Souvent longtemps énormément » et « Gilberto ».

Il faut souligner l’apport intéressant de Julien Fillion au saxophone, mais aussi à la guitare et à la basse, qui est un atout majeur dans le groupe.


Francos de Montréal : Diane Tell, élégance rare

Photo Agence QMI, Mario Beauregard

Expliquant que Fred Fortin avait réalisé son dernier album, « Haïku », sorti en 2019, huit ans après le précédent, elle s’est dite surprise en entendant « Vie », la première chanson qu’il lui a envoyée, et qui ressemblait étrangement à. .. de la Diane Tell. « Spoiler » va un peu ailleurs, mais reste dans la palette de couleurs à laquelle il nous a habitués. On a aussi pu découvrir des chansons dans des styles plus inhabituels pour la chanteuse, comme « Evolène » ou l’incroyable « Chat ».

« Getting to Know Again » a ensuite sonné avec différents arrangements de l’original des années 80.

Serge Farley Fortin (dont le père de Diane Tell a donné naissance, dit-elle), est discrètement arrivé sur scène pour chanter un duo « Moi Fille Toi Garçon ». Il a ensuite interprété une chanson à lui, aux accents country, « Quand ça fait 3…4… »

Avec ses cinq musiciens, renforcés de deux choristes, Diane Tell ne se contente pas d’aligner ses grands succès qui séduiront avec nostalgie les spectateurs, elle ira chercher des petits trésors récents ou sur de vieux albums oubliés qui permettent de redécouvrir son talent d’écriture. et sa voix unique.

On a pu réentendre le très beau « On a beau », paru sur l’album « Chimères », en 1982, le surprenant « Questionnaire » de 2019, sans oublier l’incontournable « Si j’étais un homme », ainsi que « La Légende de Jimmy », complètement métamorphosée.

En terminant, alors que la pluie redoublait d’ardeur et faisait fuir de nombreuses personnes, elle enchaînait « I am in love » et « Miami », comme un appel au retour du soleil.



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