en Normandie, les hôteliers commencent à s’inquiéter des vacances de la Toussaint

À Honfleur, dans le Calvados, les touristes parisiens sont généralement nombreux à cette période de l’année. Mais en ce moment, certains renoncent à leur séjour, faute de pouvoir se déplacer. À la ACCUEIL de son hôtel, J.oseph Djibalène gère leur annulations : « C’est une catastrophe. Pendant trois jours, il n’y a que ça. Hier déjà, on en avait trois. Avant-hier, deux. Et puis il y a quelqu’un qui vient d’appeler pour annuler pour la semaine prochaine. »

Plis loin, sur la Port, cet autre Hôtel Sûr leur meubles la grâce à un bande de touristes Belges. Mais la rapport est la même : « On a eu cinq ou six annulations, c’était des gens pour une seule nuit. Après, on a eu un groupe de huit personnes qui ont annulé parce qu’ils ne pouvaient pas se déplacer. » UN séminaire reporté, et la trimestre de l’hôtel qui à trouver vide dans la semaine. Avec son collaborateur, elle Compte alors sur leur vacances école et de la Réservations de dernière minute. Mais, avoue-t-elle, « pPour l’instant, difficile de décoller. Ils sont plutôt à réserver pour le week-end du 1er novembre.

« Si la pénurie de carburant continue, cela pourrait commencer à nous affecter sérieusement. Après, les gens vont encore commencer à s’organiser, je pense. »

Un hôtelier de Honfleur

chez franceinfo

La la Normandie n’est pas ne pas la Région la Suite touché. Nous peut FAIRE la plein ici, assure Anne, chef de ACCUEIL à l’hôtel de Dauphin : « On a eu des annulations à cause du carburant. C’est plutôt des retraités qui veulent économiser sur leur gasoil et qui ont peur d’être coincés en Normandie. Après, on a quand même pas mal de clients qui arrivent ici et qui nous demandent où ils peuvent faire du gasoil. » Ils savaient très bien qu’ils ne pourraient pas faire le retour, je pense ! »